Vous êtes sur la liste des articles liés au département Hautes-Alpes.
Cliquez ici pour accéder à la liste des châteaux de ce département

Vitrolles

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:30 par Jimre

Veynes

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:29 par Jimre

Rousset

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:26 par Jimre

Rosans

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:25 par Jimre

Prunieres

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:24 par Jimre

Oze

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:23 par Jimre

Montrond

Montrond

Trescleoux, Hautes-Alpes, arrondissement de Gap, canton Orpierre

Sur la route D1075-E712, on aperçoit cette tour sur un pic. Il s'agit d'un donjon carré bien appareillé, percé d'archères sur les quatre faces. Deux voûtes séparent les étages. Château du XVe siècle ?

Note de RM: sur nos photos, la tour est en partie écroulée et on n'aperçoit pas les archères.


Source fournie par Nano.M:

Dictionnaire des châteaux et fortifications du moyen-âge en France, C-L Salch, Editions Publitotal


Photos:

- Jimre (2016)

Posté le 15-12-2021 11:23 par Jimre

Montmaur

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:22 par Jimre

Montclus

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:21 par Jimre

Lesdiguieres

Photos:

- Jimre (2016)

Posté le 15-12-2021 11:20 par Jimre

Le Glaizil

Photos:

- Jimre (2016)

Posté le 15-12-2021 11:18 par Jimre

La Saulce

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:17 par Jimre

Embrun

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:16 par Jimre

Batie Neuve

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:15 par Jimre

Batie Monsaleon

Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 15-12-2021 11:14 par Jimre

Aspremont

Au nord de Serres, on trouve ce village avec une colline qui le domine. Sur cette colline se trouvent les restes du château féodal des sires d'Aspremont. En 1580, le sire d'Asprement était au nombre des lieutenants compagnons de Lesdiguières pendant ses campagnes.

Aspremont, au carrefour des vallees du Grand Buëch et de Chauranne, est depuis l’Antiquité , un lieu de passage, ancien itinéraire romain de Milan à Vienne. 

Des découvertes archéologiques attestent de l’occupation de ce site dès le VIIIe siècle avant JC, l’age de bronze, puis par lesRomains (fragment de voie romaine, tombeau du V siècle). 

Le village bâti sur les âpres flancs du coteau jusqu’au château, s’étend désormais dans la vallée du Buëch.

Pour se rendre au château, 2 possibilités : par la rue du Reclus ou en suivant le balisage jaune directement depuis le village (de part c t du bar).

Les jardins

L'andronne de la cure permet d'accéder aux jardins situés sur le pourtour du village. L'andronne en Provence, est un passage en escaliers en partie couvert par des maisons.

Ces terrains bien exposés, étaient traditionnellement réservés à cet usage dans de nombreux villages du Dauphiné provençal.

Le château

En 2013, la commune a acquis les vestiges du château.

L'ASPA 05 avec le soutien de la commune, organise des chantiers internationaux de bénévoles pour sécuriser et restaurer le bâti.

Construit sur un promontoire dominant les vallées, le château contrôlait probablement les passages venant de Sisteron, Gap et du Col de Cabre. La seigneurie appartient, dès le XIIe" siècle, à l'évêque de Die. 

Le château, mentionné dès 1267, devient propriété des Dauphins en 1270. 

En 1345, il est acquis par François de Parme, alors chancelier du Dauphiné.

En 1792, les habitants du Forest de Sigottier en désaccord avec le seigneur, se révoltent au sujet de la possession des terres de la Garenne qui viennent d'être conquises sur le confluent des rivières. A partir de cette époque, le château est partiellement démoli et ne sera pas reconstruit. Il servira de carrière pour le village.

Vestiges du château

Plan du château d'Aspremont d'après la source

Un pan de mur à demi-enfoui (A), pourrait être l'ancienne entrée du château.

Le mur d’angle (B) supportait la citerne repérable par une pierre trouée en partie basse et une autre en partie haute, le trop-plein.

Une arche (C), récemment restaurée, serait une entrée souterraine menant au château.

La basse-cour (D) formait une vaste et belle terrasse plantée d'arbres d'ornement qui surplombait un jardin disposé en amphithéâtre. Elle était entièrement protégée par de hauts murs. En son centre se trouvait un puits d'une très grande profondeur.

Le corps de logis (E) évoque l'architecture des et XVe et XVIe siècles. De construction quadrangulaire, il comportait deux tours circulaires aux angles côté nord et ouest, une très belle façade au sud et une tour carrée à l'est (emplacement présumé de la chapelle du château). La tour ronde, en son centre, comporte une fenêtre de tir encore visible dont l'angle de visée était calculé pour protéger la façade principale.

Le mur d’angle (F) est renforcé par des pierres de taille à bossage proéminent, élément décoratif inspiré d'une mode de la Renaissance italienne.

La croix de bois (G) indique le lieu où reposeraient les seigneurs d'Aspremont et leurs nobles épouses. Un chemin de ronde, balisé en jaune, ramène vers la basse-cour.

La butte (H), située à l'arrière du château, offre un point de vue à 360° sur la vallée du Buëch, le Dévoluy, le Col de Cabre, le défilé de Sigottier et la clue de Serres. Un édifice primitif y aurait été érigé au VIIIe siècle.

L'église St Pierre aux Liens

Son emplacement, au-delà du Buëch, avait été choisi par le Seigneur d'Aspremont afin d'obliger les habitants à entretenir le pont sur la rivière.

Le corps central date du XIIe siècle. La porte d'entrée est surmontée d'un arc en plein cintre de style roman, on peut aussi voir des pierres brochées de couleur brune qui dateraient de la construction.

Détruite pendant les guerres de religion, l'église a été en partie reconstruite au XVIIe siècle et la chapelle latérale ajoutée à cette époque.

A l'intérieur, trois tableaux restaurés sont inscrits au titre des Monuments Historiques.


Sources:

- Panneau situé sur le site du château

- Plaquette éditée par l’Office de Tourisme du Haut Buëch


Photos:

- Jimre (2016, 2024)

A noter qu'un travail de restauration a été fait entre nos deux dates de photos avec l'ajoût d'une porte entre les restes des deux tours 8;-)).


Posté le 15-12-2021 11:13 par Jimre

Saint Firmin

Photos:

- Jimre (2016, 2021)


Vidéos:

Nous vous présentons des images aériennes du château de Saint Firmin réalisée par nos soins ainsi qu'une autre vidéo réalisée par Patrick Potut sur le château.


N'hésitez pas à aller faire un tour dans notre playlist Rhône Médiéval pour voir nos autres vidéos ainsi que sur la playlist "Les Invités de Rhône Médiéval" pour voir des vidéos réalisées par d'autres personnes sur la même thématique...



Posté le 10-05-2020 09:44 par Jimre

Picomtal

Une tour de guet a été édifiée en 1080 par les chevaliers d’Embrun, chassés par l’Archevêché. Cette tour a été consolidée en pierre au XIIIe siècle. Le premier château a été érigé au XIVe siècle puis s’est agrandi et a pris sa forme définitive vers 1505, à l’aube de la Rennaissance.


Source:

- Plaquette dépliant du château


Photos:

- Jimre (2017)

Posté le 13-06-2018 19:16 par Jimre

Batie Vieille

Photos:

- Jimre (2017)


Vidéo:

Des images aériennes de la Bâtie Vieille prise par drone.

N'hésitez pas à aller faire un tour dans notre playlist Rhône Médiéval pour voir nos autres vidéos ainsi que sur la playlist "Les Invités de Rhône Médiéval" pour voir des vidéos réalisées par d'autres personnes sur la même thématique...


Posté le 21-09-2017 09:28 par Jimre

Château Queyras

Sur son rocher, à moins de 20 kms de l'Italie, la forteresse, maintes fois remaniée, verouille depuis le XIIIe siècle le passage en vallée du Guil. Elle servit longtemps de prison, entre autres pour les "sorcières" en attente de bûcher...

Sa destruction était programmée lorsqu'en 1692 déferlèrent les troupes du duc de Savoie. Château Queyras leur résista de justesse, et Louis XIV, reconnaissant l'utilité de la forteresse, la fit agrandir et renforcer par Vauban, ce qui lui vaut sa silhouette d'aujourd'hui. Elle ne fut désarmée qu'en 1940, et rendue en 1967 aux activités civiles et culturelles.


Sources:

- Livre "500 châteaux de France" de J. et A Cassaigne avec textes de S. Bogrow, éditions de la Martinière.


Photos:

- L. Robles (2015)

Posté le 06-09-2015 12:27 par Jimre

Tallard

Histoire

Le village de Tallard fut cité pour la première fois dans une charte du VIIe siècle et signifiait « ville vieille » ou « ville haute » dû à sa situation géographique initiale, en position défensive (sur le flanc de colline en face du village). La découverte en 1865 d’un dolmen à proximité de l’emplacement actuel de l’aérodrome et datant de 2000 à 2500 avant J.C. témoigne de la présence d’une population préhistorique dans ce secteur. Le dolmen est exposé aujourd’hui au Musée Muséum Départemental de Gap. Ce qui témoigne d’une population présente dès la fin de la préhistoire.

En 739, Charles Martel pourchassa les Sarrasins de Provence et des Alpes. Pour le remercier, le pape lui offrit « les Clés de Saint Pierre » (clés du paradis) qui seront honorées sur le blason de la famille Clermont-Tonnerre.

Entre le VIIIe siècle et le Xe siècle, les Sarrasins, installés en Italie ou au Fraxinetum, contrôlaient  les Alpes, se livrant au pillage et rançonnant les voyageurs qui empruntaient cette voie de passage. Ils étaient là pour arbitrer les conflits, monnayant leurs services, ou agissant pour leur propre compte.

Tallard était un passage obligé pour leurs allées et venues. Cette époque de troubles obligea les populations à se protéger sur les hauteurs 

Sous le règne des Princes d’Orange, les Tallardiens descendirent dans la vallée et élevèrent une tour en bois en haut d'une butte, tour de défense, sous laquelle la population se réfugia peu à peu, pour se protéger mais aussi pour le côté pratique vis-à-vis du commerce. Ce sera plus tard l’emplacement du château.

À partir du Xe siècle, Tallard va se protéger des brigands et des voleurs en élevant des remparts, dont on peut voir encore les traces. Le Reynaudia (ruisseau qui vient du nord) encercle les remparts et des portes qui venaient s'appuyer contre les murailles permettaient de pénétrer dans le village. L'entrée se faisait à la Porte Belle, dont on voit la maison du gardien. C'est lui qui autorisait ou non le droit de passage dans le village.

Les Princes d’Orange accordent une Charte de Liberté aux Tallardiens en 1209. Les Tallardiens gardent les clés de la ville. En 1215, Tiburge, veuve du Prince d’Orange, et son neveu vendent tous les droits et la seigneurie de Tallard aux Chevaliers de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem (anciennement appelés Ordre de Malte) qui vont jouer un rôle de charité, combiné avec l’ordre militaire et religieux. Ils vont protéger les pèlerins et les voyageurs. Leur Commanderie va siéger pendant 107 ans. En 1322, les Chevaliers échangèrent Tallard contre un comté situé en Sicile qui appartenait à Arnaud de Trians, neveu du Pape Jean XXII et maréchal de justice à Avignon.

Arnaud de Trians (1280-1350) fut le premier seigneur de Tallard. Il va créer une imposante forteresse, avec l’édifice préexistant à savoir le corps de logis seigneurial flanqué de tours notamment du donjon. Sa petite-fille Anne de Trian, seule héritière, épousa en 1375 Antoine de Sassenage. Ils deviendront les nouveaux seigneurs de Tallard. Leur fille unique, Françoise, épousera en 1439 Antoine de Clermont, issu d'une grande famille du Dauphiné.

Héritier du château, Bernardin de Clermont (1440-1522), qui épousa une riche héritière Anne de Husson Tonnerre en 1496, va agrandir le château en y ajoutant la salle des corps de garde, la chapelle seigneuriale, le châtelet d’entrée, le parc de la Garenne et les écuries du château qu’il va faire construire en dehors du château, dans le village médiéval, par manque de place. Durant les Guerres de religion, les Clermont s’exilent ; le château est mis sous la gouvernance de Bonne d’Auriac.

Après avoir été la cible de 25 ans de combat, le château a été affaibli. En 1600, Bonne d’Auriac (1550-1636) racheta le château, puis son fils Camille d’Hostun (1652-1728), héritier par sa mère, va en être le nouveau propriétaire. Il est maréchal de France sous Louis XIV et n’est pas souvent présent au château.

En 1692, le Duc de Savoie, ennemi de Louis XIV, attaqua le château et le village avec ses troupes ; le château va être quasiment détruit et sera laissé à l’abandon jusqu’en 1897, où Joseph Roman, un historien archéologue, le racheta. Il va classer la chapelle aux Monuments Historiques, va mettre une toiture d'appoint sur la salle du corps de gardes pour éviter qu’elle ne s’abime, et va reboiser le Parc de la Garenne.

En 1927, Blanche de Clermont Tonnerre, qui passait dans les Alpes, apprend que ce château appartenait à ses aïeux et le racheta. Elle s’installe à Tallard avec sa petite nièce, Marie-Christine de Bourbon Sicile. À sa mort en 1944, sa nièce hérite mais elle n’a que 10 ans et elle est éduquée ailleurs. Dans les années 1950, le prêtre Richard Duchamblo demeurant à Tallard et sensibilisé par le patrimoine décide de sauver le château et retrouve la petite nièce de Blanche de Clermont Tonnerre. Il faudra attendre sa majorité (21 ans) pour que la mairie rachète le château en 1957. Le corps de garde est classé monument historique en 1958. À partir de là, des restaurations vont être entreprises:

1961 : la toiture de la salle du Corps de Garde est refaite ;

1964 : Restauration de la Chapelle Saint Jean ;

1968 : Consolidation du cœur du logis seigneurial, puis classement de l'ensemble du château en 1969;

1988 : Restauration de la tour des escaliers ;

1999 : Restauration des Courtines ;

2012 : Début des travaux de restauration de la salle souterraine à la salle des gardes.

Concernant le village, on y observe une évolution importante au fil des siècles. À partir du Xe siècle, des remparts ont encerclé le village ainsi que le ruisseau le Reynaudia (ruisseau qui vient du nord). Des portes permettaient de pénétrer au cœur de la cité médiévale, surmontées d'un pont-levis. Un gardien autorisait ou non le droit d'entrer. Après les Guerres de religion, au XVIIe siècle, les entrées des maisons, qui s'appuyaient contre les murailles, vont s'ouvrir peu à peu. Des ouvertures vont être pratiquées, d'abord à l'étage, puis au rez-de-chaussée, lorsque le ruisseau du Reynaudia, qui se jette encore dans la Durance, sera recouvert d'une voûte.

Autrefois, la Durance arrivait au pied du village de Tallard. Pour accéder à leurs terres, les paysans étaient obligés de traverser la Durance à l'aide d'un bac, tel qu'il en est attesté en 1291. Un autre est établi pour la desserte du hameau des Boulongeons à partir du bourg, pour 20 passages par jour, au XIXe siècle. Un passeur faisait traverser la rivière à la « Porte Durance ».

À la Révolution française, on va dévier le lit de la Durance pour accéder directement aux jardins, qui seront surnommés « Les conquêtes ». En 1860, le premier pont qui traverse la Durance est construit mais il sera emporté par la crue des 31 mai et 1er juin 1877.

Dans le centre historique, les ruelles étaient très étroites ; tellement étroites que l'on pouvait se faire passer des affaires en tendant une corde entre les fenêtres des maisons. Aujourd'hui encore on peut observer ce schéma dans le village. Dans certaines maisons, les caves communiquaient entre elles. C'était un moyen stratégique, en cas d'attaque, de se déplacer sans être vu en surface.

« La Placette » était la place principale du village. Elle y réunissait les commerces tels qu'un marchand de chaussures, une boucherie, trois épiceries, une matelassière ou encore un ferblantier. Un puits était présent à l'entrée de la rue, on peut y voir ses vestiges depuis les caves. Il a été rebouché pour des raisons de sécurité et de circulation. À partir de 1960, le petit bourg perd de son intérêt et les commerces vont s'installer à l'extérieur des remparts sur l'esplanade.

L'ancienne mairie du village se situait au bout de la Placette, à l'angle de la rue Chevalerie et de rue du Mazel, qui abritait les triperies. En raison des odeurs nauséabondes et du manque de place, la mairie sera déplacée en 1912 dans les locaux actuels de la Poste. Cette maison fut appelée « la Couronne », dû à l'emplacement de la mairie au 1er étage et la justice de paix au rez-de-chaussée. La mairie sera ensuite déplacée définitivement en 1980, sur la Place Charles de Gaulle, à l'ancien endroit de l'école communale.


Sources:

- Article presqu'entièrement retranscrit de Wikipédia

- Château de Tallard

-Châteaux de Provence de Serge Panarotto - Edisud


Photos:

- Jimre (2012)

Posté le 11-04-2012 11:56 par Jimre

Tour de la Rochette


Ce donjon spectaculaire se dresse sur un éperon rocheux vertigineux. Le hameau est situé 2 kms avant Saint-Julien-en-Beauchêne (sens Sisteron/Grenoble). Le Site est non accessible mais visible depuis la route.

Il se peut que cette tour ait marqué la limite nord de l'extension des sarrasins car la croyance populaire nomme ce lieu la « porte des Sarrasins ».

Mais plus surement, cette tour carrée, d’origine médiévale,  encore voûtée, se singularise par sa construction très soignée (XIIIème siècle).

Dans Châteaux médiévaux des Hautes-Alpes, M.-P. Estienne et N. Nicolas ajoutent que les ruines sur le piton sont celles d'un château médiéval possédé aux XIIe et XIIIe siècles par les seigneurs de Bôchaîne et de la Baume-Noire, puis, au XIVe siècle par la famille Artaud (p. 46).

Sources:

"Portail des Sarrasins à la Rochette dans la Vallée du Buech de Durbon. (Htes Alpes.)"
Voir pp. 261-262

Photos:

- V. Girard (2011)

- Jimre (2017)

Posté le 07-11-2011 20:03 par Jimre